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Sims 4 StrangerVille : Fabriquer un vaccin, vacciner les Sims, vaincre une plante

Dans la troisième et dernière partie de notre Solution pour Les Sims 4 StrangerVille Il s’agit de maintenant, car nous nous engageons dans la lutte contre la plante mère, qui fait des ravages dans le laboratoire secret et assiège la ville avec d’étranges plantes. Après avoir confectionné la combinaison de protection dans la dernière partie et parlé à la plante mère, nous devons maintenant le faire. Produire un vaccinavec ça vacciner trois Sims, recruter trois Sims et puis ça Détruire la plante mère.

Fabriquer un vaccin et vacciner les Sims

Il faut d’abord Produire un vaccin puis utilisez-le pour vacciner trois Sims infectés. Pour le vaccin dont vous avez besoin un fruit et quinze spores. Vous pouvez soit obtenir le fruit de la plante mère (selon votre barre d’affection, cela prend très longtemps), soit rechercher l’un des fruits bizarres de la 2ème étape et en prendre soin. Tôt ou tard, la plante atteindra le 3ème stade et vous pourrez la récolter pour obtenir le fruit. Avec le profil d’infection, vous pouvez ensuite utiliser les fruits et les spores en laboratoire Produire un vaccin. Vous devez ensuite utiliser le vaccin que vous avez produit pour vacciner trois habitants infectés de la ville.

Recrutez des Sims et battez Mother Plant

Ensuite, vous devez recruter trois Simspour vaincre la source d’infection sous la forme de la plante mère. Les trois Sims doivent être des compagnons fidèles qui ont déjà acquis une confiance en votre Sim (valeur d’amitié élevée). Les trois Sims doivent être à nouveau vaccinés avec le vaccin avant le combat contre la plante géante. Le combat peut alors commencer. Pour cela, retournez au laboratoire secret (avec une combinaison de protection), cliquez sur la plante et sélectionnez « Combattez avec ». Le combat commence alors et les Sims attaquent la plante avec beaucoup de spray végétal. Lorsque la plante est vaincue, votre Sim devient le « Héros de StrangerVille ».

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La grande promesse pour mettre fin à la calvitie est un vaccin. Le problème est que nous sommes encore très loin d’y parvenir.


Ces dernières années, les opérations de greffe de cheveux visant à lutter contre l’alopécie ont gagné en popularité. Mais leurs jours pourraient être comptés, puisque cette lourde procédure pourrait être évitée à l’avenir grâce à un « simple » vaccin.

SCUBE3. La promesse d’un vaccin contre la calvitie n’est qu’une promesse. Mais des scientifiques s’efforcent d’y parvenir et leur pari principal est sur une simple protéine appelée SCUBE3.

Du Covid à l’alopécie. Les progrès de la médecine et les nouvelles avancées en matière de cosmétiques vont souvent de pair. C’est l’un de ces cas, puisque c’est la technologie proposée pour ce vaccin qui a permis la création de vaccins contre le Covid. Il s’agit également de la technologie la plus prometteuse pour la réalisation de futurs vaccins contre le cancer.

Les vaccins à ARN messager (ARNm) sont des composés qui contiennent des informations génétiques qui permettent à notre corps de synthétiser des protéines. Cela peut servir à entraîner notre système immunitaire contre les menaces extérieures, comme un virus, mais cela peut aussi potentiellement nous aider à favoriser l’apparition d’une hormone déjà présente dans notre corps.

Jeter les bases. Le chemin entre une découverte et l’arrivée en pharmacie d’un produit à base de celle-ci est long et dépourvu de garanties de succès. Les progrès qui ont amené certains scientifiques à rêver de ce vaccin contre la calvitie ont commencé il y a des décennies et il est raisonnable de s’attendre à ce que nous ne puissions pas voir les résultats avant la fin de ce vaccin (même si lorsque le marché potentiel est vaste, les progrès sont rapides).

On sait aujourd’hui que la calvitie est liée à une hormone appelée dihydrotestostérone (DHT), qui apparaît dans notre organisme comme une mutation de la testostérone. Cela a conduit certains traitements à se concentrer sur la prévention de cette métamorphose afin de prévenir la chute des cheveux. Un autre traitement pharmacologique bien connu est le Minoxidil.

Les opérations capillaires continuent de progresser, mais des scientifiques comme Maksim Plikus ont orienté leurs travaux dans une autre direction, celle du renforcement des cheveux sans recourir à des greffes. C’est ainsi qu’il l’expliquait au magazine il y a quelques mois.

Que le début. Plikus et les autres scientifiques qui se lancent dans cette tâche ont beaucoup de travail devant eux. En 2022, ils ont réussi à utiliser la protéine SCUBE3 chez des hérissons avec des résultats positifs. La prochaine étape consistera à tester si cette molécule est sans danger chez l’homme. Et si c’est le cas, on peut se demander si c’est efficace.

Ce ne serait pas la fin du chemin, puisque si les chercheurs veulent le transformer en vaccin à ARN(m), ils devront combiner les deux technologies, pour se lancer à nouveau dans la période de tests.

Avant d’arriver dans les pharmacies et les consultations, tout traitement doit démontrer son innocuité et son efficacité, il faut savoir quelle est sa dose idéale et s’il s’agit d’une option efficace par rapport aux autres.

Une industrie en plein essor. Le vaccin contre la calvitie peut être porteur d’espoir pour beaucoup, mais les laboratoires savent que de nombreux traitements sont laissés de côté en R&D, ils diversifient donc leurs paris. Nous sommes confrontés à une industrie en pleine croissance.

La meilleure preuve en est le nombre croissant d’opérations de greffe de cheveux ces dernières années, une industrie qui a déplacé en 2021 9,5 milliards de dollars (environ 8,7 milliards d’euros). L’incitation économique est évidente pour ces laboratoires.

La meilleure preuve en est le nombre croissant d’opérations de greffe de cheveux ces dernières années, une industrie qui a déplacé en 2021 9,5 milliards de dollars (environ 8,7 milliards d’euros). L’incitation économique est évidente pour ces laboratoires. Il faudra maintenant voir qui parviendra à se lancer dans cette industrie et à éviter à des millions de personnes de devoir subir une intervention chirurgicale chaque année.